Le Conseiller en santé publique
Le conseiller en santé publique vu par Horizon.poitou-charentes
Exerce une activité de santé publique, soit à travers la prévention de la santé de groupes d'individus, soit à travers le contrôle de l'application de la politique de santé publique, des lois et règlements s'y référant. Peut aussi conseiller les organismes de Sécurité sociale sur les demandes de prestations médicales, dentaires, pharmaceutiques et contrôler leur pertinence avec les besoins de santé des assurés.
Conditions générale d'exercice
L'emploi/métier s'effectue en liaison avec les praticiens libéraux, hospitaliers, les professions paramédicales, les travailleurs sociaux et les agents de l'Administration (inspecteur DDASS...).
Les horaires sont généralement réguliers (excepté en cas d'épidémie) et les déplacements sont occasionnels. L'emploi/métier s'exerce uniquement à titre salarié, soit avec un statut de fonctionnaire ou assimilé (praticien conseil de la Sécurité sociale...), soit avec un statut de droit privé.
Compétences techniques de base
- Appliquer et faire appliquer la politique de santé publique à travers l'élaboration de programmes préventifs (éducation pour la santé) ou curatifs (actes de lutte contre les épidémies) et des études épidémiologiques.
- Contrôler l'application des lois et règlements concernant la santé publique.
Compétences associées
- Posséder des connaissances en législation médico-sociale.
Compétences liées à l'emploi
- Savoir argumenter et justifier les décisions prises.
- User de diplomatie pour ménager des intérêts parfois divergents (Administration-usager...).
- Prendre en compte la dimension humaine dans les cas à traiter.
Formations et expérience
Cet emploi/métier est accessible à partir de formations de niveau I obligatoirement sanctionnées par le diplôme d'Etat de docteur en médecine, chirurgien dentiste ou pharmacien.
L'inscription au tableau de l'Ordre de la profession est obligatoire. Ces diplômes se préparent en 6 ans dans les unités de formation et de recherche (UFR) de médecine ou de pharmacie après l'obtention du Bac (scientifique de préférence) ou d'un diplôme équivalent. Pour les médecins inspecteurs, la possession d'un diplôme d'études spécialisées de la santé publique est appréciée. Les postes de praticiens de la santé publique (médecin inspecteur, médecin conseil, chirurgien dentiste conseil, pharmacien inspecteur, pharmacien conseil) sont pourvus par concours.
jeudi 5 janvier 2012
Bienvenue sur Conseil Santé !
Bienvenue sur Conseil Santé !
Conseil-Sante.org liste pour vous un grand nombre de conseils pour votre santé.
Découvrez les différentes rubriques santé à votre droite dans la barre de navigation.
De nombreuses informations utiles pour la santé de l’homme, de la femme et de l’enfant.
Il ne faut pas oublier que la santé est l’état physiologique de l’homme, c’est-à-dire l’équilibre et le bon fonctionnement de son organisme.
Ce sont aussi des sciences qui s’améliorent au fur et à mesure avec le temps. Enfin, c’est également la santé publique, c’est-à-dire l’ensemble des moyens visant à maintenir ou améliorer la santé de la collectivité.
Pour avoir une bonne santé, vous devez faire en sorte d’écouter votre corps, et de vous respecter.Manger de façon équilibré, faire du sport, éviter le stress, boire de l’eau et bien d’autres éléments à mettre en place. Chaque individu est différent, chacun doit trouver son rythme et son mode de vie pour se sentir au mieux.
Mais également une sélection de sites Internet pour acheter des produits naturels, des produits bio et autres produits de santé.
Nous vous proposons une comparaison de produits naturels, de santé, pour le bien-être, la relaxation et de détente.
Une bonne forme mentale nous aide à atteindre et à maintenir une bonne santé mentale, tout comme la bonne forme physique nous aide à avoir un corps sain.
A qui s’adresse le site Conseil Santé ?
Le site Conseil-Sante.org s’adresse aux hommes, aux femmes et aux enfants.
Le contenu du site Conseil Santé est en français, nos visiteurs sont principalement de France, Belgique, Luxembourg, Suisse, Canada, Québec, Nouveau-Brunswick, Haïti, Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mauritanie, Niger, Sénégal, Maroc, Algérie, etc.
La vocation du site Conseil-Sante.org
A travers de nombreux articles, diffuser différents conseils pour améliorer sa santé.
Chacun est libre d’envoyer ses conseils à l’équipe du site par e-mail.
Pour plus d’informations voir la rubrique Participer.
Le site Conseil Santé s’adresse au grand public non professionnel de santé.
Mieux comprendre et mieux gérer son capital santé est important.
Le site Conseil Santé n’a pas pour vocation de remplacer l’avis, le diagnostic (raisonnement menant à l’identification de la cause d’un problème de santé, d’une défaillance ou d’une maladie) d’un médecin ou d’un spécialiste.
Chaque conseil santé présent sur ce site n’est pas utilisable par tous !
Le contenu de ce site peut vous servir de documentation mais en aucun cas d’unique source d’informations pour soigner une maladie, une infection ou autre. L’équipe du site Internet n’est pas responsable en cas de mauvaise utilisation ou de mauvaise interprétation d’informations présents sur ce site Internet.
Pour plus d’informations, vous devez lire la page conditions d’utilisation avant de naviguer sur le site Conseil Santé.
Conseils de santé, beauté, cheveux, etc.
Partagez-vous aussi vos meilleurs conseils de beauté et vos astuces pour rester en pleine forme toute l’année. Sous la pluie ou en plein soleil vos trucs et astuces pourront aider d’autres personnes à la recherche d’informations pour rester en pleine santé.
Bon conseil : pour avoir de nombreux conseils assez divers pour hommes et femmes.
Dans la rubrique conseil alimentation vous avez plusieurs conseils et astuces pour manger équilibré et correctement tout au long de l’année sans jamais se priver pour ne pas grossir.
Pour les conseils en assurance c’est pour pouvoir bien choisir son assurance santé en France principalement, savoir utiliser les comparateurs d’assurances santé sur Internet par exemple.
Conseil beauté comme son nom l’indique c’est des conseils de beauté principalement pour femmes, un peu pour les hommes également.
Dans la rubrique conseil bébé c’est des conseils santé pour les jeunes mamans qui viennent d’avoir un magnifique bébé. Des conseils et des astuces très simples.
Conseil crédit est une rubrique pour vous aider à trouver un crédit avec un taux faible. Il faut bien comparer avant de trouver le crédit qui vous correspond. Vous avez aussi des crédits à taux zero pour les jeunes par exemples dans certaines situations.
La rubrique conseil mutuelle est un peu comme la rubrique assurance, c’est une catégorie pour obtenir des conseils pour faire le bon choix dans votre mutuelle santé pour les jeunes et les moins jeunes. Une bonne mutuelle est importante pour couvrir les frais de santé en France mais aussi à l’étranger.
Dans la catégorie Nutrition vous pourrez trouver des conseils et des astuces pour bien vous nourrir de façon saine afin de pas perdre ou plutôt ne pas prendre de poids en cas de situations stressantes comme des examens ou un entretien d’embauche par exemple.
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Bon conseil : pour avoir de nombreux conseils assez divers pour hommes et femmes.
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Gelée royale : pour qui, pour quoi ?
Gelée royale : pour qui, pour quoi ?
Gelée royale : pour qui, pour quoi ?
La gelée royale, avec son nom prestigieux et son origine un peu mystérieuse, est un produit de santé séduisant. Tour d'horizon de ses vrais atouts et des précautions à prendre.
La gelée royale, le lait des abeilles
Quels sont les vrais bénéfices de la gelée royale ?
Comment utiliser la gelée royale ?
La gelée royale, le lait des abeilles
La gelée royale est appelée lait des abeilles parce qu'elle remplit à peu près la même fonction que ce dernier. Elle est utilisée pour nourrir les larves des abeilles pendant les premiers stades de leur développement. Quant à son qualificatif de "royale", elle le doit au fait qu'elle est la nourriture exclusive de la reine des abeilles. Les reines vivent quatre à cinq ans alors que les abeilles ordinaires meurent au bout de quelques mois (pour les plus chanceuses). La gelée royale a donc dans notre imaginaire la place d'un produit un peu mythique, qui permettrait d'allonger la vie et d'augmenter la fertilité. Les reines sont en effet aussi les seules abeilles capables de pondre des œufs. La réalité n'est pas aussi rose, mais la gelée royale a tout de même des atouts.
Quels sont les vrais bénéfices de la gelée royale ?
Si l'ingrédient principal de la gelée royale est l'eau, elle contient aussi des sucres, des protéines et des graisses. D'autres éléments sont plus précieux, notamment les vitamines, du groupe B principalement, mais aussi des minéraux et des oligo-éléments. Les études scientifiques qui se sont penchées sur la gelée royale ne sont pas très nombreuses.
Les bienfaits théoriques de la gelée royale ne sont pour l'instant pas étayés par des données très fiables. Une certaine efficacité antibiotique a cependant été observée, ainsi qu'un effet similaire à celui des oestrogènes - on conseille donc parfois d'en prendre au moment de la ménopause. Plus traditionnellement, la gelée royale est plutôt utilisée comme un "renforçant" ou un "énergisant". On la conseille notamment en cas de convalescence, de période de stress ou de grosse fatigue.
Gelée royale : pour qui, pour quoi ?
La gelée royale, avec son nom prestigieux et son origine un peu mystérieuse, est un produit de santé séduisant. Tour d'horizon de ses vrais atouts et des précautions à prendre.
La gelée royale, le lait des abeilles
Quels sont les vrais bénéfices de la gelée royale ?
Comment utiliser la gelée royale ?
La gelée royale, le lait des abeilles
La gelée royale est appelée lait des abeilles parce qu'elle remplit à peu près la même fonction que ce dernier. Elle est utilisée pour nourrir les larves des abeilles pendant les premiers stades de leur développement. Quant à son qualificatif de "royale", elle le doit au fait qu'elle est la nourriture exclusive de la reine des abeilles. Les reines vivent quatre à cinq ans alors que les abeilles ordinaires meurent au bout de quelques mois (pour les plus chanceuses). La gelée royale a donc dans notre imaginaire la place d'un produit un peu mythique, qui permettrait d'allonger la vie et d'augmenter la fertilité. Les reines sont en effet aussi les seules abeilles capables de pondre des œufs. La réalité n'est pas aussi rose, mais la gelée royale a tout de même des atouts.
Quels sont les vrais bénéfices de la gelée royale ?
Si l'ingrédient principal de la gelée royale est l'eau, elle contient aussi des sucres, des protéines et des graisses. D'autres éléments sont plus précieux, notamment les vitamines, du groupe B principalement, mais aussi des minéraux et des oligo-éléments. Les études scientifiques qui se sont penchées sur la gelée royale ne sont pas très nombreuses.
Les bienfaits théoriques de la gelée royale ne sont pour l'instant pas étayés par des données très fiables. Une certaine efficacité antibiotique a cependant été observée, ainsi qu'un effet similaire à celui des oestrogènes - on conseille donc parfois d'en prendre au moment de la ménopause. Plus traditionnellement, la gelée royale est plutôt utilisée comme un "renforçant" ou un "énergisant". On la conseille notamment en cas de convalescence, de période de stress ou de grosse fatigue.
Contre la douleur ? Le sport !
Une séance de stretching sur ordonnance... Plutôt que d’augmenter vos doses de paracétamol, mieux vaut aller vous inscrire dans un cours de gym. Le sport aide à harmoniser les tensions du corps pour retrouver l’équilibre.
Le sport : un antalgique naturel
Le sport : barrage au stress
Soulager les maladies chroniques et les douleurs
Le sport : un pilier pour votre colonne
Sport : pas de séance de torture
Les activités contre-indiquées en cas de douleurs
Les 10 règles d’or du sportif
Pour en savoir plus sur les bienfaits du sport
Je bouquine...
Les prescriptions médicales ne s’arrêtent pas aux antalgiques. Les médecines douces viennent renforcer l’effet des médicaments et le sport devient un facteur essentiel pour retrouver le chemin de la forme. Ses bienfaits agissent sur la douleur pour la bâillonner au fil des séances à condition que la régularité devienne la règle dans votre posologie sportive.
Le sport : un antalgique naturel
Qui n’a jamais entendu parler des célèbres endorphines dont se gorgent les sportifs avec délice ?
Le corps possède ses propres antidouleurs naturels qu’il sécrète pendant l’exercice. Dans son arsenal thérapeutique ? Les endorphines évidemment et puis la sérotonine, la dopamine et l’adrénaline. Autant de substances qui viennent calmer les douleurs et diffuser une sensation de bien-être euphorisante.
L’humeur est liée à l’activité physique. A dire que le sport rend heureux, il n’y a qu’un pas à franchir d’un bon pied car les endorphines se déclenchent sous le coup des activités d’endurance. Plus l’exercice est intense, plus ces hormones du bonheur sont délivrées en quantité importante, jusqu’à parfois rendre les sportifs accro.
Le sport : un antalgique naturel
Le sport : barrage au stress
Soulager les maladies chroniques et les douleurs
Le sport : un pilier pour votre colonne
Sport : pas de séance de torture
Les activités contre-indiquées en cas de douleurs
Les 10 règles d’or du sportif
Pour en savoir plus sur les bienfaits du sport
Je bouquine...
Les prescriptions médicales ne s’arrêtent pas aux antalgiques. Les médecines douces viennent renforcer l’effet des médicaments et le sport devient un facteur essentiel pour retrouver le chemin de la forme. Ses bienfaits agissent sur la douleur pour la bâillonner au fil des séances à condition que la régularité devienne la règle dans votre posologie sportive.
Le sport : un antalgique naturel
Qui n’a jamais entendu parler des célèbres endorphines dont se gorgent les sportifs avec délice ?
Le corps possède ses propres antidouleurs naturels qu’il sécrète pendant l’exercice. Dans son arsenal thérapeutique ? Les endorphines évidemment et puis la sérotonine, la dopamine et l’adrénaline. Autant de substances qui viennent calmer les douleurs et diffuser une sensation de bien-être euphorisante.
L’humeur est liée à l’activité physique. A dire que le sport rend heureux, il n’y a qu’un pas à franchir d’un bon pied car les endorphines se déclenchent sous le coup des activités d’endurance. Plus l’exercice est intense, plus ces hormones du bonheur sont délivrées en quantité importante, jusqu’à parfois rendre les sportifs accro.
Neurotonie
Neurotonie
La dystonie neurovégétative, que l'on appelle aussi neurotonie, correspond à un déséquilibre bénin du fonctionnement du système nerveux autonome qui régule l'activité de nos organes. Elle se traduit par des symptômes variés. Revenons sur les conditions de sa formation, ses symptômes, ses traitements et les meilleurs moyens de prévention.
Qu'est-ce que la neurotonie ?
La dystonie neurovégétative correspond à un dysfonctionnement mineur du système nerveux autonome.
Le système nerveux autonome, ou système nerveux végétatif (viscéral), régule les fonctions vitales de l'organisme de façon inconsciente. En d'autres termes, il régule le fonctionnement de nos organes, du fonctionnement cardiaque à la respiration en passant par les mécanismes de la digestion.
Plus exactement, il existe deux systèmes nerveux autonomes, d'actions opposées.
Le système nerveux sympathique (ou orthosympathique)
C'est un système qui prédispose à l'action, au mouvement, à la fuite ou au combat, et ce, via la sécrétion d'un neuromédiateur (substance synthétisée par une terminaison nerveuse et qui permet de transmettre l'influx nerveux à un autre neurone) : l'adrénaline. C'est le système mis en route lors d'un stress.
Sa stimulation se traduit par :
Une augmentation du travail cardiaque (tachycardie, dilatation des coronaires)
Un ralentissement de la digestion (pour détourner le sang digestif au profit des muscles)
Une dilatation des pupilles, ou mydriase (pour améliorer son acuité visuelle)
Une dilatation des bronches (pour améliorer l'arrivée de l'air)
Une augmentation de la sudation
Une stimulation du foie (afin de fournir de l'énergie)
Une stimulation des glandes surrénales productrices d'adrénaline (hormone de la peur et de l'anxiété), de noradrénaline (hormone de la colère et de l'agressivité) et de cortisol (hormone de l'énergie)
Le système nerveux parasympathique
Lorsqu'il est stimulé, le système nerveux parasympathique freine les phénomènes induits par la stimulation du système nerveux sympathique. En d'autres termes, le système nerveux parasympathique remet l'organisme au repos, en "économie d'énergie" et s'oppose donc notamment au stress. Son neuromédiateur est l'acétylcholine. C'est le système qui prédomine au repos.
Sa stimulation se traduit par :
Une diminution du travail cardiaque (baisse de la fréquence cardiaque)
Une augmentation de la motricité des viscères digestifs pour favoriser l'assimilation des aliments, synonyme de mise en réserve
Un rétrécissement des pupilles, ou myosis
Une constriction bronchique
En temps normal, ces deux systèmes sont en équilibre et leur activité est sans cesse ajustée en fonction des besoins. L'un ou l'autre devient prédominant selon les circonstances. Ces deux systèmes sont silencieux : ils fonctionnent à notre insu en toute autonomie. Lorsque l'environnement change brutalement ou qu'un événement imprévu survient, l'un ou l'autre peut prendre le pas soudainement et les réactions induites peuvent être perceptibles (augmentation du rythme cardiaque par exemple, vertige lorsqu'on le lève trop rapidement du lit...).
Dans la dystonie neurovégétative, et pour une raison inconnue, l'un ou l'autre de ces deux systèmes devient prépondérant et va entraîner une cascade de réactions physiques perceptibles. On parle de vagotonie lorsque le système nerveux parasympathique est prédominant et de sympathicotonie lorsqu'il s'agit du système nerveux sympathique.
Quels sont les symptômes d'une neurotonie ?
Les symptômes dépendent de la prédominance de l'un ou l'autre des deux systèmes nerveux autonomes.
Du fait des deux origines nerveuses possibles, les symptômes sont très nombreux. Dominés souvent par une nervosité et/ou une anxiété, les symptômes de la dystonie neurovégétative comportent à des degrés divers, selon le dysfonctionnement du système nerveux concerné :
Une douleur thoracique gauche, brève, vive
Une tension musculaire
Une émotivité exagérée
Une agitation
Une tendance dépressive
Des maux d'estomac
Une fatigue
Des céphalées
Une sensation de vertige
Un malaise aux changements de position
Des sueurs
Des fourmillements dans les extrémités des membres
Une sensation d'oppression ou de difficulté à respirer
Des diarrhées ou au contraire une constipation
Des tremblements
Des palpitations
Une hypoglycémie (chute du taux sanguin de sucre)
Une bouche sèche
Des troubles sexuels (baisse de la libido, impuissance, frigidité...)
Une tachycardie (augmentation de la fréquence cardiaque) ou au contraire une bradycardie (ralentissement de la fréquence cardiaque)
Une augmentation des réflexes ostéo-tendineux
Des modifications de l'électrocardiogramme
Comment se fait le diagnostic d'une neurotonie ?
Il n'existe pas d'examen complémentaire spécifique de la dystonie neurovégétative.
Qui consulter ? Le médecin généraliste pour le diagnostic, un psychothérapeute pour une prise en charge.
Quel est l'examen de référence ?
Il n'existe pas d'examen complémentaire spécifique permettant de faire le diagnostic de dystonie neurovégétative qui reste un diagnostic essentiellement clinique. Un bilan peut être nécessaire afin d'éliminer les pathologies qui pourraient être responsables de symptômes identiques :
Un électrocardiogramme (pour éliminer un infarctus ou une angine de poitrine en cas de douleur thoracique)
Un bilan thyroïdien (pour éliminer une tachycardie liée à une hyperthyroïdie)
Un bilan sanguin, avec dosage du calcium, du magnésium ou encore du potassium, des minéraux qui peuvent entraîner également certains des symptômes constatés dans la dystonie neurovégétative
Certains tests permettent toutefois d'explorer la qualité de fonctionnement du système nerveux autonome. Des tests basés sur l'étude de la réponse cardio-vasculaire (fréquence cardiaque, tension artérielle...) et de la sudation après des stimulations diverses (respiration, tests de position, efforts musculaires...).
Peut-on prévenir la dystonie neurovégétative ?
Une meilleure hygiène de vie améliore l'équilibre entre les deux systèmes nerveux autonomes.
L'hygiène de vie améliore l'équilibre entre les deux systèmes nerveux autonomes et permet d'éviter l'aggravation de certains des symptômes, comme la tachycardie par exemple :
Pratique d'un sport ou d'une activité physique régulière
Quantité et qualité du sommeil suffisantes
Suppression de l'alcool et du tabac
Diminution du café (qui augmente la sécrétion d'adrénaline et de cortisol au niveau des glandes surrénales)
Quels sont les principaux traitements de la neurotonie ?
Il n'existe pas de traitement spécifique de la dystonie neurovégétative.
Aucun traitement allopathique n'a réellement fait ses preuves. Les benzodiazépines (type diazepam) peuvent être prescrites lorsque l'anxiété est au premier plan.
Du fait de l'aspect psychologique de la dystonie, il peut être utile d'essayer :
La psychothérapie légère
La psychanalyse
La relaxation, telle que la sophrologie
Les médecines naturelles ont-elles leur place en complément d'une neurotonie ?
Le magnésium, le phosphore, l'aromathérapie, la phytothérapie et l'acupuncture peuvent constituer une aide importante.
Usage traditionnel
Le magnésium
Antistress majeur, le magnésium intervient dans la régulation de l'adrénaline, un déficit en magnésium favorisant la sécrétion d'adrénaline. Il agit également au niveau de la régulation du calcium. En s'opposant au calcium, le magnésium a une action neurosédative et peut donc contrebalancer les effets d'une stimulation accrue du système sympathique. Plus précisément, le magnésium favorise la relaxation, régularise le rythme cardiaque et réduit les tensions musculaires. On en retrouve dans les céréales complètes, le soja, les fruits secs, les crustacés, les poissons gras et le cacao, mais aussi dans certaines eaux minérales (Contrex, Badoit, Hépar) (in "Stress contrôle", Editions Alpen, 2005).
Le phosphore
Seul ou associé au magnésium, le phosphore agit comme un régulateur "de terrain" en cas de dystonie neurovégétative. (in site internet d'Homéophyto.com)
Aromathérapie
L'huile essentielle de Citrus aurantium est efficace en massage le long de la colonne vertébrale et sur le plexus solaire (in site Internet de Aroma-zone. Com)
Phytothérapie (in "Stress contrôle", Editions Alpen, 2005)
L'aubépine. Elle régularise le rythme cardiaque et les palpitations. Sédative, elle calme l'angoisse, les vertiges et la nervosité. Une cuillerée à soupe de pétales en infusion dans une tasse d'eau bouillante. Disponible aussi en gélules ou en ampoules : 1 à 2 g par jour en 3 prises
La passiflore. Sédative, la passiflore est efficace contre la dépression, les palpitations cardiaques, l'hyperémotivité, la nervosité ou l'insomnie. Une cuillerée à café de fleurs séchées à infuser dans de l'eau bouillante. Trois tasses par jour. En gélules, 1 à 2 g par jour en 3 prises.
Daniel Gloaguen - Le 24 août 2010
Sources :
"Science et Vie", Hors-série, n° 226, mars 2004
"Larousse médical", 2006
"Stress contrôle", Editions Alpen, 2005
Site de l'information hospitalière
La dystonie neurovégétative, que l'on appelle aussi neurotonie, correspond à un déséquilibre bénin du fonctionnement du système nerveux autonome qui régule l'activité de nos organes. Elle se traduit par des symptômes variés. Revenons sur les conditions de sa formation, ses symptômes, ses traitements et les meilleurs moyens de prévention.
Qu'est-ce que la neurotonie ?
La dystonie neurovégétative correspond à un dysfonctionnement mineur du système nerveux autonome.
Le système nerveux autonome, ou système nerveux végétatif (viscéral), régule les fonctions vitales de l'organisme de façon inconsciente. En d'autres termes, il régule le fonctionnement de nos organes, du fonctionnement cardiaque à la respiration en passant par les mécanismes de la digestion.
Plus exactement, il existe deux systèmes nerveux autonomes, d'actions opposées.
Le système nerveux sympathique (ou orthosympathique)
C'est un système qui prédispose à l'action, au mouvement, à la fuite ou au combat, et ce, via la sécrétion d'un neuromédiateur (substance synthétisée par une terminaison nerveuse et qui permet de transmettre l'influx nerveux à un autre neurone) : l'adrénaline. C'est le système mis en route lors d'un stress.
Sa stimulation se traduit par :
Une augmentation du travail cardiaque (tachycardie, dilatation des coronaires)
Un ralentissement de la digestion (pour détourner le sang digestif au profit des muscles)
Une dilatation des pupilles, ou mydriase (pour améliorer son acuité visuelle)
Une dilatation des bronches (pour améliorer l'arrivée de l'air)
Une augmentation de la sudation
Une stimulation du foie (afin de fournir de l'énergie)
Une stimulation des glandes surrénales productrices d'adrénaline (hormone de la peur et de l'anxiété), de noradrénaline (hormone de la colère et de l'agressivité) et de cortisol (hormone de l'énergie)
Le système nerveux parasympathique
Lorsqu'il est stimulé, le système nerveux parasympathique freine les phénomènes induits par la stimulation du système nerveux sympathique. En d'autres termes, le système nerveux parasympathique remet l'organisme au repos, en "économie d'énergie" et s'oppose donc notamment au stress. Son neuromédiateur est l'acétylcholine. C'est le système qui prédomine au repos.
Sa stimulation se traduit par :
Une diminution du travail cardiaque (baisse de la fréquence cardiaque)
Une augmentation de la motricité des viscères digestifs pour favoriser l'assimilation des aliments, synonyme de mise en réserve
Un rétrécissement des pupilles, ou myosis
Une constriction bronchique
En temps normal, ces deux systèmes sont en équilibre et leur activité est sans cesse ajustée en fonction des besoins. L'un ou l'autre devient prédominant selon les circonstances. Ces deux systèmes sont silencieux : ils fonctionnent à notre insu en toute autonomie. Lorsque l'environnement change brutalement ou qu'un événement imprévu survient, l'un ou l'autre peut prendre le pas soudainement et les réactions induites peuvent être perceptibles (augmentation du rythme cardiaque par exemple, vertige lorsqu'on le lève trop rapidement du lit...).
Dans la dystonie neurovégétative, et pour une raison inconnue, l'un ou l'autre de ces deux systèmes devient prépondérant et va entraîner une cascade de réactions physiques perceptibles. On parle de vagotonie lorsque le système nerveux parasympathique est prédominant et de sympathicotonie lorsqu'il s'agit du système nerveux sympathique.
Quels sont les symptômes d'une neurotonie ?
Les symptômes dépendent de la prédominance de l'un ou l'autre des deux systèmes nerveux autonomes.
Du fait des deux origines nerveuses possibles, les symptômes sont très nombreux. Dominés souvent par une nervosité et/ou une anxiété, les symptômes de la dystonie neurovégétative comportent à des degrés divers, selon le dysfonctionnement du système nerveux concerné :
Une douleur thoracique gauche, brève, vive
Une tension musculaire
Une émotivité exagérée
Une agitation
Une tendance dépressive
Des maux d'estomac
Une fatigue
Des céphalées
Une sensation de vertige
Un malaise aux changements de position
Des sueurs
Des fourmillements dans les extrémités des membres
Une sensation d'oppression ou de difficulté à respirer
Des diarrhées ou au contraire une constipation
Des tremblements
Des palpitations
Une hypoglycémie (chute du taux sanguin de sucre)
Une bouche sèche
Des troubles sexuels (baisse de la libido, impuissance, frigidité...)
Une tachycardie (augmentation de la fréquence cardiaque) ou au contraire une bradycardie (ralentissement de la fréquence cardiaque)
Une augmentation des réflexes ostéo-tendineux
Des modifications de l'électrocardiogramme
Comment se fait le diagnostic d'une neurotonie ?
Il n'existe pas d'examen complémentaire spécifique de la dystonie neurovégétative.
Qui consulter ? Le médecin généraliste pour le diagnostic, un psychothérapeute pour une prise en charge.
Quel est l'examen de référence ?
Il n'existe pas d'examen complémentaire spécifique permettant de faire le diagnostic de dystonie neurovégétative qui reste un diagnostic essentiellement clinique. Un bilan peut être nécessaire afin d'éliminer les pathologies qui pourraient être responsables de symptômes identiques :
Un électrocardiogramme (pour éliminer un infarctus ou une angine de poitrine en cas de douleur thoracique)
Un bilan thyroïdien (pour éliminer une tachycardie liée à une hyperthyroïdie)
Un bilan sanguin, avec dosage du calcium, du magnésium ou encore du potassium, des minéraux qui peuvent entraîner également certains des symptômes constatés dans la dystonie neurovégétative
Certains tests permettent toutefois d'explorer la qualité de fonctionnement du système nerveux autonome. Des tests basés sur l'étude de la réponse cardio-vasculaire (fréquence cardiaque, tension artérielle...) et de la sudation après des stimulations diverses (respiration, tests de position, efforts musculaires...).
Peut-on prévenir la dystonie neurovégétative ?
Une meilleure hygiène de vie améliore l'équilibre entre les deux systèmes nerveux autonomes.
L'hygiène de vie améliore l'équilibre entre les deux systèmes nerveux autonomes et permet d'éviter l'aggravation de certains des symptômes, comme la tachycardie par exemple :
Pratique d'un sport ou d'une activité physique régulière
Quantité et qualité du sommeil suffisantes
Suppression de l'alcool et du tabac
Diminution du café (qui augmente la sécrétion d'adrénaline et de cortisol au niveau des glandes surrénales)
Quels sont les principaux traitements de la neurotonie ?
Il n'existe pas de traitement spécifique de la dystonie neurovégétative.
Aucun traitement allopathique n'a réellement fait ses preuves. Les benzodiazépines (type diazepam) peuvent être prescrites lorsque l'anxiété est au premier plan.
Du fait de l'aspect psychologique de la dystonie, il peut être utile d'essayer :
La psychothérapie légère
La psychanalyse
La relaxation, telle que la sophrologie
Les médecines naturelles ont-elles leur place en complément d'une neurotonie ?
Le magnésium, le phosphore, l'aromathérapie, la phytothérapie et l'acupuncture peuvent constituer une aide importante.
Usage traditionnel
Le magnésium
Antistress majeur, le magnésium intervient dans la régulation de l'adrénaline, un déficit en magnésium favorisant la sécrétion d'adrénaline. Il agit également au niveau de la régulation du calcium. En s'opposant au calcium, le magnésium a une action neurosédative et peut donc contrebalancer les effets d'une stimulation accrue du système sympathique. Plus précisément, le magnésium favorise la relaxation, régularise le rythme cardiaque et réduit les tensions musculaires. On en retrouve dans les céréales complètes, le soja, les fruits secs, les crustacés, les poissons gras et le cacao, mais aussi dans certaines eaux minérales (Contrex, Badoit, Hépar) (in "Stress contrôle", Editions Alpen, 2005).
Le phosphore
Seul ou associé au magnésium, le phosphore agit comme un régulateur "de terrain" en cas de dystonie neurovégétative. (in site internet d'Homéophyto.com)
Aromathérapie
L'huile essentielle de Citrus aurantium est efficace en massage le long de la colonne vertébrale et sur le plexus solaire (in site Internet de Aroma-zone. Com)
Phytothérapie (in "Stress contrôle", Editions Alpen, 2005)
L'aubépine. Elle régularise le rythme cardiaque et les palpitations. Sédative, elle calme l'angoisse, les vertiges et la nervosité. Une cuillerée à soupe de pétales en infusion dans une tasse d'eau bouillante. Disponible aussi en gélules ou en ampoules : 1 à 2 g par jour en 3 prises
La passiflore. Sédative, la passiflore est efficace contre la dépression, les palpitations cardiaques, l'hyperémotivité, la nervosité ou l'insomnie. Une cuillerée à café de fleurs séchées à infuser dans de l'eau bouillante. Trois tasses par jour. En gélules, 1 à 2 g par jour en 3 prises.
Daniel Gloaguen - Le 24 août 2010
Sources :
"Science et Vie", Hors-série, n° 226, mars 2004
"Larousse médical", 2006
"Stress contrôle", Editions Alpen, 2005
Site de l'information hospitalière
L'heure du bain
Au bonheur du bain !
Chaque jour, le bain de bébé est une source d'hygiène indispensable. Mais c'est aussi un moment privilégié de détente et d’intense complicité avec votre bébé. Plaisir du bain, produits de soin, voici tous les conseils pratiques pour un bain réussi.
Source de bien-être
Véritable moment de tendresse, le bain doit être pour bébé une source de plaisir incontestée. Il doit s’y sentir manifestement heureux et dans son élément sans que ni vous ni lui ne ressente une quelconque appréhension. Pour commencer, les baignades sont courtes puis se rallongent au gré de l’habitude et des éclats de rire.
Bain bébéOutre le plaisir du clapotis de l’eau sur sa peau, bébé en fait souvent un moment d’intense communication et de jeu, qui lui permet de s'épanouir et d'apprendre à découvrir son corps.
Idéal sur le plan de l’hygiène, le bain est aussi préconisé pour faciliter la détente et retrouver le calme après une journée mouvementée. Il permet à bébé de se relaxer et l'aide à s'endormir paisiblement.
Ces moments d’intimité nécessitent néanmoins quelques mesures de sécurité. Vous devez vous montrer totalement disponible et au calme, sans oublier de préparer au préalable tout le matériel nécessaire (matelas à langer, change, serviette et produits de toilette) pour tout avoir à portée de main. Vérifiez attentivement la température de l'eau (tiède, entre 32° et 36°C) et aussi celle de la pièce (20-22°C) Et surtout, ne laissez jamais bébé seul dans son bain - même quelques instants - pour éviter tous risques d’accidents.
Concentré de douceur
Rien n’est plus important que le choix des produits nettoyants. On ne le répétera jamais assez : la peau de votre chérubin est beaucoup plus sensible et irritable que celle de l’adulte, surtout jusqu’à l’âge de 4 ans.
Chaque jour, le bain de bébé est une source d'hygiène indispensable. Mais c'est aussi un moment privilégié de détente et d’intense complicité avec votre bébé. Plaisir du bain, produits de soin, voici tous les conseils pratiques pour un bain réussi.
Source de bien-être
Véritable moment de tendresse, le bain doit être pour bébé une source de plaisir incontestée. Il doit s’y sentir manifestement heureux et dans son élément sans que ni vous ni lui ne ressente une quelconque appréhension. Pour commencer, les baignades sont courtes puis se rallongent au gré de l’habitude et des éclats de rire.
Bain bébéOutre le plaisir du clapotis de l’eau sur sa peau, bébé en fait souvent un moment d’intense communication et de jeu, qui lui permet de s'épanouir et d'apprendre à découvrir son corps.
Idéal sur le plan de l’hygiène, le bain est aussi préconisé pour faciliter la détente et retrouver le calme après une journée mouvementée. Il permet à bébé de se relaxer et l'aide à s'endormir paisiblement.
Ces moments d’intimité nécessitent néanmoins quelques mesures de sécurité. Vous devez vous montrer totalement disponible et au calme, sans oublier de préparer au préalable tout le matériel nécessaire (matelas à langer, change, serviette et produits de toilette) pour tout avoir à portée de main. Vérifiez attentivement la température de l'eau (tiède, entre 32° et 36°C) et aussi celle de la pièce (20-22°C) Et surtout, ne laissez jamais bébé seul dans son bain - même quelques instants - pour éviter tous risques d’accidents.
Concentré de douceur
Rien n’est plus important que le choix des produits nettoyants. On ne le répétera jamais assez : la peau de votre chérubin est beaucoup plus sensible et irritable que celle de l’adulte, surtout jusqu’à l’âge de 4 ans.
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